• Coucou les petits loulous,

    Vous vous souvenez de la "sirainette" cette drôle de petite créature, moitié sirène et moitié rainette ? Et bien voici à présent le Génipopotame....un drôle de phénomène celui-là.... et c'est Alexandre en personne qui a eu la chance de le rencontrer....

    Voici son histoire

    Belle journée et

    Bizatoussssssss

    Le génipopotame

    Le Génipopotame

     

        Il était une fois un petit garçon qui possédait une lampe magique. Lorsqu’il l’allumait, elle faisait apparaître tantôt un génie capable d’exaucer ses vœux, tantôt un hippopotame énorme qui écrasait tout dans la maison. Le Génipopotame était le nom qu’il avait donné à ce trésor unique.

    Un jour, ses parents l’avaient laissé tout seul à la maison (hum ! pas très sérieux ça !)...C’était en plus, en plein hiver quand les jours sont si courts !!!

    Alexandre (c’était le nom du petit garçon)  était lui, très content …il pouvait faire tout ce qu’il voulait : regarder des dessins animés à la télévision, lire dans sa chambre, manger un bout de chocolat…

    Il était ravi ! Mais très vite, le soleil s’est caché derrière de gros nuages et il se mit à faire très sombre dans la maison. Alexandre commença  à avoir un petit peu peur. Il y avait peut-être des monstres cachés dans un coin. Il s’empara de sa lampe de poche et l’alluma...et l’éteignit …et l’alluma...et l’éteignit...clic...clac...clic...clac... cl...

    • Hé ! ça ne va pas la tête ! tu l’allumes ou tu l’éteins, mais arrête ton cirque ! Je commence à avoir le tournis dans cette lampe!

    Dans le faisceau lumineux, une ombre floue apparue, puis se précisa de plus en plus.

    • Oh ! un génie ! s’exclama Alexandre, chouette, tu vas pouvoir exaucer mes vœux !
    • Heu ! Oui ...Heu ! Non ...heu ! oui …Heueueu...
    • C’est oui ou c’est non ? s’énerva Alexandre
    • Ah ? tu vois ! c’est agaçant de ne pas savoir ce que l’on veut ! et, sans rien demander à personne, le génie retourna dans la lampe.

    Oh flute ! Alexandre était vraiment très déçu. Il appuya sur le petit bouton rouge de la lampe qui s’alluma à nouveau. Cette fois, c’est un hippopotame géant que la lumière diffuse fit surgir devant lui. Il sauta sur le parquet et bondit dans tous les coins de la pièce. Il se cogna le nez sur les murs en emportant tout sur son passage. Les étagères de la bibliothèque se vidèrent de leurs albums, le lit ne résista pas au poids du mastodonte, les jouets valsèrent dans tous les sens, l’armoire trembla et Alexandre n’osa plus bouger d’un pouce…enfin si…il actionna une nouvelle fois le bouton rouge pour faire disparaitre la lumière et en même temps, cet horrible animal qui semait la pagaille.

    Ensuite, il hésita un peu avant de jouer une nouvelle fois avec la lampe...il la tourna et la retourna dans ses mains. Il commençait à faire nuit et il aurait  bien aimé y voir un peu plus clair. Sa chambre était plongée dans le noir.

    • Tant pis, se dit-il, et il appuya courageusement sur le bouton rouge. La lampe émit une jolie lumière jaune pâle à travers laquelle le génie apparu à nouveau
    • Et hop ! me revoilà ! C’était quoi ton vœu mon petit bonhomme ?
    • Je voudrais que mon papa et ma maman reviennent vite ! lança Alexandre dans un demi sanglot
    • Et hop ! c’est comme si c’était fait ! s’amusa le génie en retournant dans sa lampe.

    Juste à ce moment-là, la porte se mit à grincer et s’ouvrit lentement. Maman et Papa arrivaient, les bras chargés de toutes les courses qu’ils venaient de faire dans le supermarché voisin.

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  • Coucou les petits loulous,

    Avez-vous déjà vu des requins (oups! des dauphins) pendant que vous étiez en train de vous baigner?

    Non? Et bien,  Ewenn, lui, si...C'était il y a quelques années sur une plage de Piriac sur mer...Quelle chance !!! Et quelle histoire !

    Belle journée et

    Bizatousssssssssssssss

     

    Surprise sur la plage

    Surprise sur la plage

     

    Le papa d’Ewenn est le premier à les voir danser devant le bateau du pêcheur...Ils sont là, tout près, à quelques mètres de la plage. Tous les regards se tournent vers ce bras tendu en direction des nageurs exceptionnels qui bondissent hors de l’eau et replongent dans une chorégraphie à couper le souffle. Ils entourent l’embarcation comme des dizaines de gardes du corps soucieux de conduire les marins à bon port.

    Ewenn se précipite vers son père et reste bouche bée devant un tel spectacle, suivi par des centaines de personnes, qui, d’un bond se lèvent pour approcher du rivage.

    Pendant un long moment, les marsouins vont et viennent ainsi jusqu’à devenir un point minuscule à la surface de l’eau...au loin. Chacun reprend alors ses activités : jeux de ballons entre jeunes, baignades bruyantes avec d’énormes bouées gonflables, lecture sous un parasol ou simplement bronzette en plein soleil, histoire d’attraper les premiers coups de soleil de l’année...

    Sur le camping, la soirée est bien animée, chacun racontant à qui veut l’entendre, cet étonnant défilé du 14 juillet !!  Peu classique, il faut bien l’avouer !

    Ewenn, de son côté, s’endort avec cette image devant les yeux...dans son sommeil, la représentation se poursuit. Lentement, les marsouins disparaissent un par un à l’horizon... tous, sauf un...le plus jeune  échappe à la surveillance de sa mère et s’approche de lui avec un petit air malicieux. Ewenn  comprend vite qu’il a envie de jouer, alors il s’élance dans la mer et nage avec ce gentil petit cétacé. Il saute avec lui par-dessus les vagues, s’enivrant des senteurs marines mêlant harmonieusement l’iode et le goémon. Il plonge jusqu’aux rochers recouverts d’anémones et joue avec Juju (le marsouin) à effrayer les poissons qui s’y réfugient pour échapper aux crabes. Que de fous rires avec lui...Ils s’amusent comme des petits fous jusqu’à son réveil.

    Son rêve semblait si authentique, qu’Ewenn se précipite dès les premières heures du jour sur la petite crique qu’il a vue en songe, muni de son masque de plongée ...il fonce droit dans la mer tout en scrutant le fond de l’eau, et aperçoit « Juju » là où il l’avait laissé cette nuit.

    • Je t’attends depuis un moment...Pourquoi m’as-tu laissé tout seul ici ?
    • Oups ! heueueu...mais heu !
    • Ma famille est partie depuis longtemps, se lamente le gentil petit marsouin, tu veux bien m’aider à la retrouver ?
    • Bien sûr, répond Ewenn qui a entendu dire que les marsouins vivaient non loin de l’Ile Dumet...
    • Alors monte sur mon dos et dirige-moi

    Aussitôt dit, aussitôt fait. Juju et Ewenn rejoignent l’Ile Dumet en un rien de temps. Ils sont accueillis par toute la colonie des marsouins, qui, inquiets, ont passé la nuit à la recherche du « bébé » égaré. La maman est si heureuse qu’elle offre à Ewenn un superbe coquillage très coloré en forme d’entonnoir à spirales, rapporté d’une île lointaine :

    • C’est un coquillage magique. Il te suffira de le porter à ton oreille chaque fois que tu en éprouveras le besoin. D’abord, tu entendras le bruit des vagues contre les rochers, puis une douce mélodie accompagnée de paroles, d’abord indistinctes, et de plus en plus précises...ce sont les réponses aux questions que tu te poses...

    Un peu incrédule, Ewenn accepte le présent qu’il garde précieusement tandis que les marsouins l’encerclent pour lui présenter une dernière valse avant de le ramener sur le sable.

    Il se retourne une dernière fois et s’aperçoit que la mer a retrouvé tout son calme...Il pose alors délicatement le coquillage tout contre son oreille quelques secondes et sourit en entendant la voix de « maman marsouin ».

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  • Coucou les petits loulous,

    Voici l'histoire d'un petit chat et de sa maman....pour les plus petits d'entre vous.

    Avec de belles images de chatons...

    Belle journée et

    Bizatoussssssss

    Ti- fou

    Ti-fou A faim

     

       Il était une fois un petit chaton blanc, noir et roux que des  maîtres « distraits » avaient oublié avec sa maman dans une forêt sombre et lugubre. Un beau jour d’hiver, après avoir marché longtemps entre les racines des arbres qui leur tordaient les pattes, ils ont débarqué dans le jardin de Tanette. Avec cette vieille dame charmante et très gentille qui adore les animaux, ils connurent un bonheur immense. Elle avait commencé par donner au chaton le nom de Ti-fou parce qu’il aimait se tortiller sur le sol en jouant avec les feuilles mortes. Il aimait bien ce nom rigolo, et chaque fois qu’elle le prononçait, il s’avançait vers elle en se dandinant. Dorlotés, câlinés et bien nourris, ils n’avaient plus du tout envie de repartir de ce foyer douillet. Tanette aussi appréciait les « ronrons » et les moments de tendresse qu’elle passait avec ses nouveaux petits compagnons.

    Ti- fou

    Tout allait donc pour le mieux dans le meilleur des mondes, jusqu’au jour ou Tanette fut atteinte d’une  étrange maladie qui la clouait sur son lit. Chaque jour, le pauvre chaton et sa maman passaient de longues heures avec elle sur sa couette, mais elle était si mal qu’elle ne pouvait pas s’occuper d’eux.

    Ti-fou ne mangeait plus du tout à sa faim. Il avait beau aller jeter un coup d’œil dans sa gamelle, elle était désespérément vide. Un jour sa maman qui l’accompagnait dans sa quête de nourriture  lui a fait comprendre qu’il n’y avait plus qu’une solution : il fallait « chasser ».

    Ti- fou

    Elle a bien essayé de lui apprendre, mais rien à faire, il ne voulait pas faire de mal à ces petites créatures aux longues moustaches qui l’amusaient tant...

    Il quitta donc le jardin et partit à l’aventure. En chemin, il rencontra des copains avec qui il passait beaucoup de temps à jouer à cache-cache ou à chat perché...mais il se retrouvait souvent seul pendant que ses nouveaux amis partaient à la recherche de mulots pour se nourrir.

    • Si tu ne veux pas chasser, tu peux toujours retourner dans la forêt pour chercher de quoi manger...tu trouveras certainement des baies sauvages, des châtaignes ou des champignons, lui dit un jour l’un d’eux.

    Ti- fou

    Il suivit donc ce conseil...mais comme il était seul, sans sa maman, et que la nuit commençait à tomber, il eut soudain très peur...il se mit à trembler, à greloter et à pleurer...ou plutôt à miauler...et finit par se cacher sous une grande feuille de fougère. Là, il vit deux yeux qui le fixaient. Deux yeux d’un bleu intense qui appartenaient à un curieux et minuscule bonhomme qui se mit à lui adresser la parole d’une voix mélodieuse:

    • Je sais pourquoi tu es là ! et je sais de quoi tu as besoin...j’ai suivi tes aventures depuis le début. Je t’ai vu avec ta maman quand vous étiez seuls, abandonnés tout près d’ici. Vous êtes bien avec Tanette, c’est la plus agréable et généreuse des personnes que je connaisse...il faut retourner près d’elle. Ta maman t’attend elle aussi.
    • Mais elle est malade ! et personne ne vient remplir notre gamelle !
    • Regarde ce joli champignon à collerette violette ! prends le doucement...il est magique ! il te suffira de le donner à Tanette pour qu’elle guérisse.

    Ti- fou

    Et c’est ce que fit Ti-fou...Tanette reprit très vite des forces et avec sa maman qui surveillait très souvent la cuisson des gâteaux qu’elle confectionnait pour eux, il reprit sa vie comme avant … heureux comme un poisson dans l’eau.

    Ti- fou

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  • Coucou les petits loulous,

    Encore une histoire pour les plus petits ...une histoire de doudou

    Très vite, une nouvelle histoire-jeu (avant la fin de la semaine !) avec des Iles à découvrir, histoire d'avoir envie de repartir en vacances !!!

    Belle journée et

    Bizatoussssssssssss

    Doudou Fanfan

    Doudou Fanfan

     

      Doudou-éléphant est encore plein de trous ! Quel maladroit ! Tantôt il se blesse avec un couteau en coupant sa viande...et hop ! Un trou sur la patte... tantôt il ne regarde pas devant lui lorsqu’une voiture arrive à toute vitesse...et hop ! Une oreille écrasée !  Quelle tête en l’air ce doudou !

    • Mamy ! tu veux bien le réparer ? Demande Noah, il est déchiré là...et là... et encore là ! Et puis là il y a un gros trou.

    Et voilà Mamy qui s’empare de son fil, de son aiguille et d’une bonne dose de patience pour faire de jolis points de suture à Doudou Fanfan. Heureusement, il n’est pas trop douillet et l’opération se passe plutôt bien, sans trop de pleurs et de gémissements. Quand il se réveille, Doudou est tout content et repart à l’aventure avec Noah qui l’attrape par le bout de la trompe. Il ne le lâche pas une seconde...sauf quand il aperçoit un copain et qu’il décide subitement de jouer avec lui en laissant tomber doudou sur le sol.

    C’est ce moment-là que Doudou Fanfan attend depuis le début de la journée, ce moment si précieux où lui aussi peut enfin vivre sa vie tout seul...Il en profite pour aller gambader joyeusement et découvrir le monde.

    Avec ses petits yeux malicieux, son large sourire, ses grandes oreilles un peu décollées et sa courte trompe en tire-bouchon, il devient « vivant »  quand son petit maître l’abandonne…. et il parcourt le monde... Pendant les vacances, il plonge dans la mer et va à la rencontre des petits crabes et des crevettes qui deviennent vite ses amis. Il est très coquin et se cache très souvent pour faire croire qu’il s’est égaré...mais ça, c’est juste pour embêter Noah qui le cherche partout ...et il refait surface dans un endroit aussi insolite que le bac à sable ou le coffre à jouets.

    Hier,  par exemple, il était caché derrière un arbre et observait son petit ami qui s’exerçait à l’accrobranche dans les filets, les tyroliennes et sur les gros rondins de bois hyper glissants. En le voyant s’amuser comme un petit fou, doudou Fanfan a voulu essayer lui aussi et s’est mis à grimper sur l’arbre sans prendre la moindre précaution...et hop ! Il est tombé par terre à plat ventre sur le sol en s’égratignant au passage sur les graviers...

    C’est là qu’il s’est fait sa dernière déchirure, plus grande que toutes les autres. Pauvre Mamy ! La voilà encore avec son fil et son aiguille pour réaliser une nouvelle opération très délicate !

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  • Coucou les petits loulous,

    Non, non, je ne vous ai pas oubliés...

    Après cette jolie trêve aux Iles Canaries, me voici de retour pour écrire  des histoires...histoires pour enfants, histoires-jeux ou histoires insolites...

    Et pour commencer, une histoire pour les plus petits que je n'avais pas encore répertoriée dans la rubrique "histoires pour enfants" (à gauche de l'écran, version PC) avec toutes les autres.

    Belle journée à toutes et à tous.

    Doudou carotte

     

    Grosse frayeur pour Doudou Carotte

     

    • On va juste se promener dans la forêt Alexandre! Laisse donc ton « Doudou Carotte » à la maison...il va enfin pouvoir se reposer un peu.
    • Oh non ! j’aimerais bien qu’il voit comme c’est joli la forêt en automne avec toutes ces belles couleurs !et puis, je suis sûr que c’est un champion pour chercher les champignons !

    Alexandre n’en démord pas. Il trouvera mille excuses pour garder « Doudou Carotte » avec lui. C’est pourtant vrai qu’avec sa large bouche toujours ouverte sur deux rangées de dents hyper pointues, ses trois feuilles vertes en guise de cheveux et ses deux grands yeux naïfs, il est trop rigolo !

    Maman cède, et emmène Alexandre, Doudou Carotte, Gabriel et Doudou-hérisson pour une longue marche parmi les chênes, les châtaigniers, les charmes et les hêtres qui ont tous revêtu leurs habits aux jolies teintes jaunes, rouges, marron et ocre pour la saison pré-hivernale. Seuls de vieux sapins aux cimes proches du ciel ont gardé leurs épines et offrent une jolie touche de vert dans cette palette flamboyante.

    La promenade est joyeuse et les enfants mènent la danse en chantant les dernières mélodies apprises à l’école. Ils ramassent sur leur passage un magnifique bouquet coloré de feuilles sèches joliment dentelées.

    Maman esquisse un sourire de satisfaction. Ses enfants profitent au maximum de cette  balade en respirant l’air frais délicatement parfumé émanant des fougères, arbres secs,  mousses et lichens...ils sautent par-dessus les troncs des arbres tombés lors de la dernière tempête et courent dans les allées. Soudain, des pleurs !!

    • Dououdou ! dououdou ! doudou carotte a disparu !
    • Tu l’as perdu ?
    • Non, il...est...par...ti...tout seul !
    • Ne pleure pas ...On va le retrouver.

    Pendant que Maman, Alexandre et Gabriel refont le chemin inverse pour chercher Doudou, madame écureuil saute de son perchoir pour ramasser Doudou-carotte qu’elle a vu glisser de la main d’Alexandre

    • Oh ! quel joli doudou...Il doit être malheureux ici.

    Et hop, elle saute de branche en branche pour le ramener dans son nid, un gros trou dans un chêne creux.

    • J’ai eu si peur, tout seul dans cette grande forêt, se lamente doudou. Heureusement que tu es venu me chercher gentil écureuil. Peux-tu m’aider à retrouver Alexandre.
    • Regarde ! D’ici, nous pouvons voir presque toute la forêt...tu le verras facilement quand il passera dans le coin.

    En attendant, Criqui, le petit écureuil roux, apprend à Doudou à se déplacer le long des branches pour mieux observer le paysage en hauteur, et découvrir sous un autre jour cette forêt aux mille coloris.

    • Comme c’est joli ! s’exclame-t-il...J’aimerais tant qu’Alexandre soit là, lui aussi...Oh ! mais je le vois ! A-lex-an-dre....Alexandre !

    Alexandre lève la tête et saute de joie... Criqui et Doudou le rejoignent très vite.... tous les trois s’amusent pendant un bon moment, se promettant de se revoir très très vite.

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